Il y a ton sourire qui se lève, C'est comme une lueur d'espOir, Il y a l'ombre et la lumière, au milieu notre trajectOire, Il fallait choisir une route, alOrs On a chOisi la pluie, Acide a s'en bruler le cOeur, pOurvu que planent nOs esprits, Il y a des yeux qui me tuent, quand tu me dis que c'est finit, Il y a le vent tout en sanglot, qui souffle pou une amnéstie, Mais rien n'arrêtera la lutte, rien ne séchera cette pluie, Rien ne finira la chute, Rien ne finit l'infini ...
Rien ne desserrera nOs mains , rien n'éteindras l'éphémere ...
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